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Relève de la garde des soldats allemands rue de la République, à proximité du palais de la Bourse, entre le 19 juin et le 6 juillet 1940

"Les années folles"

"Tandis que de l'autre coté du Rhin ...."

"... chez nous, nous chantions 'tout va très bien madame la marquise' et 'ya de la joie' de Charles Trenet"

"Septembre 1938 l'orage gronde"

"Des mesures de défense passives sont prises"

Creusement d'une tranchée à l'angle nord-ouest de la place Bellecour entre 1939 et 1942

"Printemps 1939 les nuages s'amoncellent"

Rappel immédiat des réservistes de catégorie 8 par une affiche localisée à proximité du 12 rue de la Bourse à Lyon le 29 septembre 1939

"Après la Tchécoslovaquie, Hitler tourne ses regards vers la Pologne"

"La mesure semble comble la nervosité des chancelleries, comme celle des individus s'accroit, la guerre peut éclater d'un moment à l'autre"

Tranchées creusées sur la place Carnot dans le cadre de la Défense passive entre le 28 septembre 1938 et 1942

Cheminot mettant en place un dispositif de défense passive entre 1938 et 1945

Badigeonnage de la verrière de la gare de Perrache dans le cadre de la défense passive entre 1938 et 1940

Enfant montrant une porte sur laquelle est indiquée abri-refuge au 27 avenue Berthelot entre 1938 et 1940

Homme aidant Léontine Rougé à mettre son masque à gaz dans le cadre d'exercices de Défense passive entre 1938 et 1940

Des civils montant dans des wagons dans le cadre d'un exercice de défense passive entre 1938 et 1940

Léontine Rougé et d'autres civils essayant des masques à gaz lors d'un exercice de défense passive entre 1938 et 1940

"3 septembre 1939 c'est la guerre"

Affiche annonçant la mobilisation générale le 2 septembre 1939

Un militaire se trouvant devant une affiche annonçant la mobilisation générale du 2 septembre 1939

Soldat mobilisé en uniforme passant sur le pont de la rue Croix-Barret en septembre 1939

Dispositif de défense passive mis en place en gare de Perrache entre 1938 et 1945

Sacs de sable empilés sous une arche de la gare de Perrache comme mesure de Défense passive entre 1938 et 1945

Sacs de sable de la Défense passive déposés devant le central téléphonique du 18 rue Bourgelat entre 1938 et 1945

Retrait des vitraux de la cathédrale Saint-Jean dans le cadre de la Défense passive entre 1938 et 1940

Vitrines de commerces place Bellecour couvertes par des bandes de papier adhésif pour lutter contre le souffle des explosions dans le cadre de la Défense passive entre 1938 et 1940

Bandes de papier adhésif sur les vitrines des commerces des 12 et 14 avenue Jean Jaurès appliquées dans le cadre de la Défense passive entre 1938 et 1940

Civils dans une tranchée creusée sur la place Bellecour entre 1939 et 1942

"10 mai 1940 la 'drôle de guerre' prend fin"

"1 juin 1940"

"Pendant que de la Somme aux Vosges la bataille fait rage, les avions à croix-noires survolent la région rhodanienne semant la mort et la désolation"

"Ce 1 juin 1940 fut la journée des quatre alertes. Quatre fois les sirènes mugirent"

"L'alerte la plus longue dura de 12 heures à 14 heures 30 Givors subira un violent bombardement. On comptera plus de 50 morts"

Façade de la gare de Givors-Canal après le bombardement allemand de Givors le 1er juin 1940

Gare de Givors-Canal après le bombardement allemand sur Givors le 1er juin 1940

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